Inauguration du centre d’étude et de conservation

Une urgence pour préserver les collections

Les annulations successives des premiers projets de réserves et du musée sont venues remettre en question les conditions de préservation des collections, aujourd’hui réparties dans plusieurs lieux temporaires (Saint-Malo, Nantes et Grenoble) et dont les diagnostics sur les normes de conservation réalisés dès 2007 décrivaient l’urgence de la situation.

Compte tenu de ces éléments, le lancement de la construction d’un bâtiment pour les réserves des collections a été engagé dès octobre 2021 sur une parcelle de 4 235 m² située à Saint-Malo.

Le bâtiment, dont la surface utile s’élève à environ 1 000 m² de plain-pied pour 658 m² d’espaces de conservation, est conçu par le groupement Hugues Fontenas Architectes. Il a été conçu dans le plus grands respect des enjeux environnementaux, et a été rendu possible grâce à l’accompagnement du ministère de la Culture (DRAC Bretagne), du Conseil régional de Bretagne et du Conseil départemental d’Ille-et-Vilaine.

Un lieu de stockage et d’étude

Le nouveau Centre d’étude et de conservation constitue avant tout un lieu de stockage des 13.000 éléments de la collection malouine, mais aussi un lieu de préparation des collections en vue de leur future exposition et enfin un espace de travail pour l’équipe du musée, les restaurateurs et les chercheurs accueillis.

Les objectifs majeurs du bâtiment des réserves sont :

– Conserver l’ensemble des collections – propriétés ou dépôts au musée – dans des conditions climatiques optimales (hygrométrie, température, hygiène, etc…) et adaptées à leur nature (papier, métal, organique, mixte, etc…)

– Étudier le fonds conservé en facilitant au maximum l’accès aux chercheurs (identification des collections aisées, manutention limitée, espaces de travail équipé, etc…)

– Faciliter la diffusion des collections par une dynamique de prêt et un renouvellement des collections présentées au sein du musée. Il s’agira de mettre en place une chaine de conservation préventive particulièrement efficiente, de la livraison aux espaces de réserves en passant par tous les espaces de prise en charge des collections (emballage, déballage, constat d’état, photographie, etc…)

Inauguration du centre d’étude et de conservation

En vue du lancement de L’Hydro – Musée maritime de Saint-Malo, la première opération menée par la Ville de Saint-Malo a été de protéger ses précieuses collections et de bâtir un Centre d’étude et de conservation, inauguré ce vendredi 25 avril 2025.

Une urgence pour préserver les collections

Les annulations successives des premiers projets de réserves et du musée sont venues remettre en question les conditions de préservation des collections, aujourd’hui réparties

dans plusieurs lieux temporaires (Saint-Malo, Nantes et Grenoble) et dont les diagnostics sur les normes de conservation réalisés dès 2007 décrivaient l’urgence de la situation.

Compte tenu de ces éléments, le lancement de la construction d’un bâtiment pour les réserves des collections a été engagé dès octobre 2021 sur une parcelle de 4235 m² située à Saint-Malo.

Le bâtiment dont la surface utile s’élève à environ 1 000 m2 de plain-pied pour 658 m2 d’espaces de conservation, est conçu par le groupement Hugues Fontenas Architectes. Il a été conçu dans le plus grand respect des enjeux environnementaux, et a été rendu possible grâce à l’accompagnement du ministère de la Culture (DRAC Bretagne), du Conseil régional de Bretagne et du Conseil départemental d’Ille-et-Vilaine.

Un lieu de stockage et d’étude

Le nouveau Centre d’étude et de conservation constitue avant tout un lieu de stockage des 13.000 éléments de la collection malouine, mais aussi un lieu de préparation des collections en vue de leur future exposition et enfin un espace de travail pour l’équipe du musée, les restaurateurs et les chercheurs accueillis.

Les objectifs majeurs du bâtiment des réserves sont :

– Conserver l’ensemble des collections – propriétés ou dépôts au musée – dans des conditions climatiques optimales (hygrométrie, température, hygiène, etc…) et adaptées à leur nature (papier, métal, organique, mixte, etc…)

– Étudier le fonds conservé en facilitant au maximum l’accès aux chercheurs (identification des collections aisées, manutention limitée, espaces de travail équipé, etc…)

– Faciliter la diffusion des collections par une dynamique de prêt et un renouvellement des collections présentées au sein du musée. Il s’agira de mettre en place une chaine de conservation préventive particulièrement efficiente, de la livraison aux espaces de réserves en passant par tous les espaces de prise en charge des collections (emballage, déballage, constat d’état, photographie, etc…)

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