Une rencontre dans le cadre de l’expo d’été

Le photojournalisme au féminin aujourd’hui : l’héritage de Lee Miller

Tout comme la photographe Lee Miller et la rédactrice en chef Audrey Withers constituaient en 1944 une véritable équipe qui permit à Vogue de publier des reportages sur la libération de l’Europe, Adrienne Surprenant et Laurence Cornet ont aujourd’hui l’habitude de travailler ensemble pour couvrir et relater les événements internationaux.

Comment s’organisent les reportages photographiques dans un grand quotidien ? Quelle est la place des femmes photojournalistes ? Quels sont les enjeux de leurs reportages ? Quelle(s) histoire(s) raconter ? Quelles sont les lignes de conduite ? Autant de questions auxquelles ces deux journalistes s’efforceront de répondre.

Une rencontre avec Adrienne Surprenant, photographe de l’agence MYOP et Laurence Cornet, éditrice-photo au quotidien Le Monde.

Samedi 10 août 2024 à 20 heures – Théâtre Chateaubriand

Accès libre dans la limite des places disponibles


Crédit photo : Elisa Haberer

Laurence Cornet est éditrice photo, journaliste et commissaire d’exposition. Ses collaborations incluent des publications et institutions publiques et privées dans le monde entier. Dans les dernières années, elle a principalement développé le pôle éditorial et curatorial de l’association Dysturb et est aujourd’hui éditrice photo de la rubrique internationale du journal Le Monde.

Née en 1992, Adrienne Surprenant est une photographe canadienne basée en France. Après des études de photographie au Collège Dawson, elle a affirmé son écriture documentaire en abordant des sujets au long cours, au Nicaragua (2014-2015), puis entre le Cameroun et la République Centrafricaine (2015 à 2021). Ses thématiques de prédilection se situent à la lisière entre le visible et l’invisible, espérant rendre aux situations qu’elle aborde la complexité qui peut permettre de s’y confronter de façon honnête et empathique. Identité, santé mentale, droits humains et environnement s’entrelacent dans ses projets, qui rendent compte de la réalité crue du monde. La photographie est un engagement social sans concession. Ses travaux ont été publiés dans de nombreux médias internationaux, dont Le Monde, Wall Street Journal, Washington Post, Time, The Guardian, Geo (Allemagne) & Al Jazeera. Ses clients incluent Médecins Sans Frontières, UNHCR, et Greenpeace. Ses séries ont été exposés au Canada, en France (Visa pour l’image, 2015) et en Angleterre. Elle est boursière de la National Geographic Society, du Wellcome Trust, de la SCAM & de IWMF. Elle a suivi deux formations HEFAT depuis 2017. Adrienne rejoint MYOP en 2022.

Une rencontre dans le cadre de l’expo d’été

Le photojournalisme au féminin aujourd’hui : l’héritage de Lee Miller

Tout comme la photographe Lee Miller et la rédactrice en chef Audrey Withers constituaient en 1944 une véritable équipe qui permit à Vogue de publier des reportages sur la libération de l’Europe, Adrienne Surprenant et Laurence Cornet ont aujourd’hui l’habitude de travailler ensemble pour couvrir et relater les événements internationaux.

Comment s’organisent les reportages photographiques dans un grand quotidien ? Quelle est la place des femmes photojournalistes ? Quels sont les enjeux de leurs reportages ? Quelle(s) histoire(s) raconter ? Quelles sont les lignes de conduite ? Autant de questions auxquelles ces deux journalistes s’efforceront de répondre.

 

Une rencontre avec Adrienne Surprenant, photographe de l’agence MYOP et Laurence Cornet, éditrice-photo au quotidien Le Monde.

 

Samedi 10 août 2024 à 20 heures – Théâtre Chateaubriand

Accès libre dans la limite des places disponibles

Crédit photo : Elisa Haberer

Laurence Cornet est éditrice photo, journaliste et commissaire d’exposition. Ses collaborations incluent des publications et institutions publiques et privées dans le monde entier. Dans les dernières années, elle a principalement développé le pôle éditorial et curatorial de l’association Dysturb et est aujourd’hui éditrice photo de la rubrique internationale du journal Le Monde.

Née en 1992, Adrienne Surprenant est une photographe canadienne basée en France. Après des études de photographie au Collège Dawson, elle a affirmé son écriture documentaire en abordant des sujets au long cours, au Nicaragua (2014-2015), puis entre le Cameroun et la République Centrafricaine (2015 à 2021). Ses thématiques de prédilection se situent à la lisière entre le visible et l’invisible, espérant rendre aux situations qu’elle aborde la complexité qui peut permettre de s’y confronter de façon honnête et empathique. Identité, santé mentale, droits humains et environnement s’entrelacent dans ses projets, qui rendent compte de la réalité crue du monde. La photographie est un engagement social sans concession. Ses travaux ont été publiés dans de nombreux médias internationaux, dont Le Monde, Wall Street Journal, Washington Post, Time, The Guardian, Geo (Allemagne) & Al Jazeera. Ses clients incluent Médecins Sans Frontières, UNHCR, et Greenpeace. Ses séries ont été exposés au Canada, en France (Visa pour l’image, 2015) et en Angleterre. Elle est boursière de la National Geographic Society, du Wellcome Trust, de la SCAM & de IWMF. Elle a suivi deux formations HEFAT depuis 2017. Adrienne rejoint MYOP en 2022.

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